Ça te parle le lien entre les boyaux de la tête et ceux du ventre ? Le fait que l’on ait autant de neurones dans le ventre, voire plus que dans la tête ? Le fait que tout ce qu’exprime notre ventre puisse venir de notre tête ? Que de relâcher notre ventre peut soulager notre état nerveux et émotionnel ?
C’est un espace intime & confidentiel, où chacune est accueillie telle qu’elle est, avec ce qu’elle traverse dans l’instant. C’est un lieu pour déposer sa parole, ou parfois son silence, et prendre le temps d’écouter ce qu’il y a à écouter, à dire, à révéler et à laisser retentir.
Projection du documentaire HOLYSHIT, véritable témoignage qui aborde avec délicatesse la question de l’inceste, de l’orgasme traumatique, du cheminement parcouru pour sortir du rôle de victime
Partages avec Sarah Marcuse, réalisatrice
Jeudi 23 octobre, 20h15 Cinéma Emeraude, Dinan
L’histoire de comment j’ai expérimenté, obstinément, tout ce qui me libérerait possiblement de l’abus sexuel vécu et des effets collatéraux qui empoisonnent ma vie.
Holyshit! C’est l’histoire de comment j’ai décidé d’en parler. Avec AMOUR. Et même avec humour.
Pour faire la paix. En moi. Et autour de moi.
Holyshit! C’est aussi l’histoire d’un pari. Celui de suivre jusqu’au bout ce fil d’argent, cette intuition qui, du plus loin que je me souvienne, malgré ma peur et mes doutes, ne m’a jamais quittée :
Est-ce que je peux sublimer ce trauma de mon enfance ?
C’est cette quête intime et universelle que je souhaite partager.
Quand on en parle, est-ce que ça fait mal ? Est-ce que ça fait mal ou est-ce que ça fait peur ?
Peur d’avoir mal et mal d’avoir peur ?
Comment on parle de ça ?
Quand on en parle, ça nettoie ? Est-ce que, un jour, ça disparaît ? ça disparaît où ?
Puisque ça, c’est fait et qu’on ne peut rien y changer, est-ce que ça peut devenir autre chose qu’une douleur ? Je veux dire à part une armure, un arc, une kalachnikov ou une ceinture de chasteté ?
Est-ce que je peux sculpter ça, le modeler, le façonner avec ma poésie et mes doigts d’artiste de manière à ce que ça sorte de mon corps en douceur ?
Est-ce qu’ il y a en moi des enzymes suffisamment puissants voire agressifs pour digérer ça ? Le métaboliser ?
Est-ce que ça peut devenir une loupe, un phare, une étincelle, un truc qui éclaire ?
Est-ce que ça peut devenir quelque chose de beau ?
Ce que je sentais lourd comme plomb, avec le temps et avec Amour, est-ce que je peux en faire de l’or ?
Après sa scolarité à L’Ecole Rudolf Steiner elle passe sa maturité au Collège Voltaire, passe par la faculté de lettre puis s’oriente vers le Théâtre. L’Ecole Dimitri au Tessin et l’école Fratellini à Paris pour les Arts de la scène et du Cirque puis L’Ecole Serge Martin à Genève pour le jeu et l’écriture scénique. Depuis 2000, sous l’égide de sa compagnie La Fourmilière, elle écrit, adapte, joue et met en scène des spectacles qui ont en commun de proposer des visions constructives pour continuer à grandir.
Elle tourne ses spectacles en Suisse et à l’étranger : Montréal et le Québec, Paris, Avignon, St Etienne, Nouméa, Lausanne, Fribourg, Neuchâtel, Vevey, Fribourg, Yverdon et remporte notamment un grand succès avec Holyshit ! joué durant deux ans et demi ainsi que pour l’adaptation du Chat du Rabbin de Joann Sfar qui s’est joué plus de 100 fois.
Écriture, conception/m.e.s d’une vingtaine de pièces de théâtre et de 2 albums pop
Conception et production de projets culturels thématiques, miniatures ou d’envergure
Médiation/prévention par le biais de l’outil théâtral
Formation et enseignement de Pilates/Yoga
EVENEMENTS
Elle crée des événements dont le cœur, l’objet théâtral, devient outil de médiation pour tisser des liens et réfléchir à certaines problématiques actuelles.
Ses textes sont édités aux éditions Campiche (Luna Parc/ Prix SSA 2005) et Le Chamois Rouge (L’invisible chemin & Holyshit !)
MUSIQUE
Elle a réalisé deux disques de musique pop distribué par Plainisphare et VDE Gallo « Des tocs et des breloques » et « Petits mantras magiques à chanter soi-même pour tomber heureux ».
Quand: Jeudi 23 octobre 2025, 20h15 Où: Cinéma Emeraude, Dinan Public: à partir de 15 ans. Tarif: 7€ Durée: 38mn + partages avec Sarah Marcuse, réalisatrice
Ce documentaire est projeté en prélude au Festival TABOUS qui se déroule du vendredi 24 au dimanche 26 octobre 2025 à Dinan.
Les Oiseaux de Pluie propose une aventure visuelle et émotionnelle inattendue, sur le sujet du deuil, qui trouvera résonance en chacun d’entre nous. Une œuvre lumineuse, qui célèbre la résilience et la capacité humaine à trouver la lumière, même au coeur de la nuit.
Plongeon dans les continents mystérieux du plaisir féminin, les eaux profondes s’interroge autour de ces «fontaines», qui jaillissent parfois au moment du plaisir sexuel des femmes. Le phénomène reste très méconnu, y compris des femmes elles-mêmes…
Véritable témoignage qui aborde avec délicatesse la question de l’inceste, de l’orgasme traumatique, du cheminement parcouru pour sortir du rôle de victime, Holyshit! pose un regard concret sur la possibilité de transcender nos traumas et sortir de la souffrance. Comment on parle de ça ?
Ce documentaire offre un regard de la réalisatrice sur son spectacle.
Ce spectacle, plein d’humour et de tendresse, nous invite à entrer dans la cuisine de Maëlle, qui nous parle de sa famille et de son parcours de vie, en passant par l’IMC & les facteurs de l’obésité, les troubles du comportement alimentaire ou encore le féminisme & les injonctions de la beauté.
C’est l’histoire d’une grossesse qui s’arrête avant d’arriver à son terme. Une histoire de rencontres avec des soignant·es, des célébrant·es, des ami·es qui se mettent au service d’un rituel hors du commun.
Comment parler d’une expérience aussi intime que la découverte de l’orgasme ? Comment partager une part de soi-même qu’on a ignorée pendant des années ?
Un spectacle-conférence. Un temps ancré dans le sentir, de partage de savoirs et savoir-faire sur l’anus. Du contenu, et des dynamiques à pratiquer. Un manifeste éducatif, joyeux et plein d’amour qui te laissera sur le… cul. Un vrai délice !
Le temps d’un atelier via des jeux vocaux, d’écoute et d’improvisation, faire un focus sur notre voix, celle qui est vecteur de parole, de cris de chant, celle qui montre nos émotions, celle que l’on maltraite souvent, que l’on peut faire taire, que l’on déteste parfois… La voix qui sort de notre bouche, de notre intime, de notre premier cri à notre dernier souffle, comment l’écouter vraiment? Peut-on poser sur notre voix une écoute différente?
Découvrons ensemble cette étape de vie encore trop taboue. L’atelier s’adresse aux femmes comme aux hommes afin de mieux comprendre les changements physiques, émotionnels et sociaux liés à la ménopause. L’objectif est de créer les conditions pour devenir acteur ou actrice de cette transition, que l’on soit directement concerné ou témoin bienveillant.
«Intimité et sexualité masculine : ce que les hommes ne disent pas»
Émotions réprimées, vulnérabilité cachée, masturbation chargée de honte, pornographie omniprésente, désir troublés, injonctions de performance, rétention, éjaculation, rapport au pénis, plaisir anal… autant de réalités masculines souvent passées sous silence. Cet atelier propose d’ouvrir ensemble ces tabous, pour transformer la honte en conscience et nourrir une compréhension plus juste et sensible de l’intime masculine.
Un cercle de parole autour des poils, sujet qui questionne notre rapport au corps, à la norme et à la liberté. Un sujet universel qui concerne autant les femmes que les hommes, et qui suscite des points de vue variés et parfois contrastés
Mon rapport à mes poils, à ceux de l’autre, peurs, injonctions, dégout, curiosité, extase…
Un échange vivant et ouvert pour redonner leur place à ces fils naturels qui nous relient au vivant.
La pratique du dessin de modèle vivant confronte les regardeureuses au corps du modèle. La beauté du corps n’entre pas en compte. Seul l’esthétique du dessin prime. Et tout du long, le.a dessinateurice doit lutter contre l’objectisation du regardé.e. Et si vous vous confrontiez à ses deux tensions, dessiner et poser nu.e, que ressentiriez-vous?
Oh la honte! : Atelier de création de kamishibaï et aventure collective
Avec humour et poésie, auscultons l’endroit de nos verrous et de nos hontes, libérons l’expression, pour redonner de la mobilité, faire circuler, lâcher prise, ensemble.
Puisons chacun avec spontanéité dans notre imaginaire personnel, collectif, réel ou fantasmé pour réunir la matière d’une création collective visuelle et sonore éphémère cherchant à déboulonner la honte.
*Style de narration à la croisée du théâtre et du livre.
«Douleurs intimes et sexuelles : comprendre, exprimer, transformer»
Un atelier participatif pour parler sans tabou des douleurs sexuelles, mieux saisir leurs origines et explorer des pistes pour retrouver confort et plaisir. À travers des échanges, des exercices créatifs et des moments d’ancrage, chacun.e est invité.e à renouer avec son corps et à repartir avec des ressources concrètes pour avancer vers une intimité choisie et épanouie.
Une invitation à transgresser le silence autour de l’utérus et du sang de lune. À recontacter ton Temple d’Or — ton bassin, ta mémoire, ta voix. Activation vibratoire de l’orbite sacrée (les 14 remontées du Nil) & Haka de la Rose et du Lion. Le luxe est dans ton corps. Et l’argent, une alliance sensuelle avec ta puissance incarnée. »
En dansant, il retrouve son innocence. Chaque geste devient une parole silencieuse. Les tremblements, les pleurs, les élans de joie…tout est permis, tout a sa place, un lieu de vérité.
Un sanctuaire mouvant où les tabous tombent, un pas après l’autre, et où la danse redevient un langage sacré du corps.
« Se dire – raconter l’intime sans forcément se dévoiler »
Atelier d’écriture Après une mise en condition ludique, chaque participant·e pourra s’essayer au récit de soi, en choisissant la forme qu’iel souhaite : courte nouvelle, poème, scénette… ou tout autre objet écrit non-identifié. Il s’agira de transposer, décaler, inventer, oser la fiction pour dire l’intime en dépassant le personnel et révéler ainsi une part commune de l’expérience humaine.
Comment faire de ta pratique de masturbation une voie de pleine conscience et d’éveil
Conférence-témoignage. Elle se disait « handicapée de l’amour » souffrant du syndrome de la « poupée gonflable »: figement, dissociation, difficulté à oser le plaisir… Aujourd’hui femme souveraine réconciliée avec son énergie sexuelle, elle nous livre son protocole de « masturbation pleine conscience » pour transformer cette pratique en une voie de guérison et d’éveil. • Se libérer de la honte et des conditionnements limitants. • Élargir son potentiel érotique • Sortir de la pornographie et développer un lien d’amour envers son corps et son sexe • Retrouver sa souveraineté sexuelle
Elle est parfois bien enfouie, mal accueillie, dissimulée, honteuse ou gênante …
Nous irons ensemble accueillir nos espaces de vulnérabilités.
Qu’est ce que nous pouvons lâcher pour ressentir notre vulnérabilité ? Comment trouver suffisamment de sécurité en soi pour oser nous dévoiler vulnérable ? Par l’expression de notre créativité, l’écoute du corps, le jeu, le partage, le mouvement… Ensemble nous ouvrirons ce chemin
Inspiré des enseignements d’Azul Thomé, un « cercle de compostage du deuil » est une invitation à entreprendre un voyage au coeur de soi, à la rencontre de nos peines. L’atelier comprend un temps de transmission, un temps d’introspection et un temps de rituel pour honorer nos peines et retrouver notre lien à nous-mêmes et à ce qui nous entoure.
Projection du moyen métrage sur le plaisir féminin et les femmes fontaines
Partages avec Alice Dorn, réalisatrice
Vendredi 10 octobre, 20h15 Cinéma Emeraude, Dinan
Plongeon dans les continents mystérieux du plaisir féminin, les eaux profondes s’interroge autour de ces «fontaines», qui jaillissent parfois au moment du plaisir sexuel des femmes. Le phénomène reste très méconnu, y compris des femmes elles-mêmes…
Coupées de nos corps et de nos désirs par des siècles d’oppression patriarcale, le continent du plaisir féminin reste encore souvent terra incognita. Les eaux profondes ouvre un de ces espaces rares et précieux, où la parole se libère et se partage…
Nous y voyageons, dans un imaginaire « en rhizomes », s’autorisant l’exploration, le jeu, et se nourrissant d’une aspiration profonde à réhabiliter une sexualité féminine riche, joyeuse, et qui retrouve le chemin de ses profondeurs.
Née à Schiltigheim en 1981, Alice Dorn habite et travaille dans le Finistère. Créatrice textile, dessinatrice, cinéaste, elle est diplômée en 2007 de l’Atelier national d’art textile et de l’École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d’art, à Paris. Elle reçoit en 2008 le prix Liliane Bettencourt pour l’intelligence de la main, pour sa collection textile « Surfaces sensibles ». Ses œuvres textiles ont été exposées à Paris, en province et à l’étranger. À partir de 2011, Alice Dorn se forme au cinéma argentique.
Son dernier film, « Les eaux profondes » (2019), sur le sujet du plaisir féminin, a reçu de nombreux prix et continue à voyager à travers le monde.
Depuis 2016, Alice Dorn pratique les techniques de l’estampe (gravure taille douce).
Dans son travail elle aime à développer, un univers imaginal, symbolique, mais aussi intuitif, émotionnel et sensible, autour de thématiques intimes et liées au Féminin, au corps et à la sexualité des femmes. Pour elle, les images et de la créativité recèlent un véritable élixir de Vie et de guérison que nous pouvons apprendre à contacter, à nous réapproprier.
Alice travaille depuis bientôt 5 ans à la création d’un nouveau film en hommage au placenta, « les racines miraculeuses ».
ARTICLE – MEDIAPART «Les Eaux profondes», un film d’Alice Dorn ● 19 févr. 2019 ● Par Cédric Lépine ● Blog : Le blog de Cédric Lépine
L’origine de la vie sur Terre est aquatique et le lien à cet élément fondamental est sans cesse rappelé à l’être humain dans sa plus profonde intimité. Puisqu’il y a cette adéquation forte entre l’eau et la vie, quoi de plus naturel chez la détentrice du pouvoir de concevoir la vie de faire émerger la fontaine de jouvence ?
Le cinéma recèle de fantastiques expériences lorsque l’on ose sortir des chantiers battus de la production classique de faire et de réaliser des films. Fraîchement sorti des eaux de sa conception, Les Eaux profondes est un documentaire expérimental, un essai et avant toute chose une œuvre de cinéma. Alice Dorn, réalisatrice de ce moyen métrage, mène une patiente investigation sur un phénomène proprement féminin encore peu audible et que certains associent à une identité spécifique : la femme fontaine. Cette recherche la conduit à recueillir les témoignages de nombreuses femmes, qui deviennent alors les conteuses d’une histoire qui relie chacun de nous à la nuit des temps. Du singulier à l’universel, l’art du récit se tisse ici patiemment, comme les fils d’une longue tapisserie contenant un bout d’histoire de l’humanité. Et peu à peu nous découvrons le tissage qui prend forme sous nos yeux : une invitation à revisiter le plaisir féminin sous un nouvel angle. L’aptitude à libérer des eaux au moment du plaisir sexuel n’est plus ici une rareté singulière mais une capacité que possède chaque corps de femme. On la retrouve de manière sous-jacente, dans la représentation des divinités, sources de fertilité dans les civilisations anciennes où le féminin était respecté et vénéré… Mais le parcours est loin d’être sans difficultés, comme l’exprime bien en voix off une femme témoignant au micro d’Alice Dorn, car chaque individu est relié à l’histoire transgénérationnelle d’une lignée de femmes violées, et aucune lignée n’est indemne de l’ordre patriarcal du monde dans lequel nous baignons. Cependant, chaque individu est également en mesure de guérir de ses blessures… et s’ouvre alors un chemin de réconciliation de la femme avec elle-même, corps et âme…
Les Eaux profondes d’Alice Dorn est aussi une invitation concrète : celle faite aux femmes de connaître intimement leur corps pour mieux se reconnecter à lui, et par là-même, à leur source intérieure. Cette démarche d’ »empowerment » au féminin, trouve aussi son reflet dans le choix fait par la cinéaste, d’une réappropriation des moyens de production à tous les niveaux de la réalisation du film, tourné en Super8, développé à la main, autofinancé (financement participatif)… tout en intégrant une dimension collective, invitant de nombreuses femmes à expérimenter, à s’exprimer, à trouver du plaisir à faire et à être, au sein de cet espace.
Le Super8 permet de donner naissance à une image sur le support hypersensible de la pellicule, granuleuse, vibrante, se rapprochant de l’aspect tactile de la peau… La nudité des corps et encore moins leur diversité féminine n’ont plus rien de tabou. La cinéaste les filme avec complicité et sororité. Par petites touches, nous faisons l’expérience d’une sérénité intérieure, intime, au temps présent.
Alice Dorn renoue ainsi avec toute une histoire de l’indépendance au cinéma qui a pris la forme de l’expérimental avec des personnalités comme celles de Germaine Dulac et Maya Deren, ou encore plus récemment Marie Losier. Elle explore toutes les dimensions que le cinéma artisanal lui laisse à portée de main pour créer en connexion étroite avec les éléments qu’elle convoque, comme les corps filmés, qui parlent d’eux-mêmes.
L’animation en stop motion dans Les Eaux profondes convoque, elle aussi, la joie de l’expérience des corps féminins en dehors des tabous puritains, pour révéler leur magie intérieure… Alice Dorn fait revivre des déesses antiques après les avoir sculptées et nourries de ses réflexions. La bande-son leur insuffle la vie. Dès lors, l’association de ses représentations divines avec le corps des femmes contemporaines filmées en Super8 réactualise la force intrinsèque et multiséculaire du féminin.
En 1866, Gustave Courbet peignait L’Origine du monde. En 2019, Alice Dorn revisite le thème, avec une analyse inédite de la beauté du pouvoir féminin, d’offrir la vie tout autant que le plaisir de la vie, de la même manière que ce que représente l’eau, source de vie et de plaisir.
Témoignages de : Ashley Molco Castello, Laurence Bourgaud, Mélo, Élise, Misungui Bordelle, Andrea de Clerck, Sylvie Verchère Merle, Georgia, Solveig, Aliché, Sophie, Alice Dorn, Emmanuelle Duchesne, Muriel Gasnier, Marie Foulatier, Juliette (…)
Scénario, montage, son, production : Alice Dorn Chants : Jessica Mersch, Léone Dethiers, Émilie Lejeune, Alice Dorn(…) Piano et hang : Alice Dorn Tournage images : Alice Dorn (avec la participation de Colas Ricard) Développement pellicules : Alice Dorn Étalonnage images : Yannis Davidas Mixage son : Stéphane Larrat Numérisation : 8 numérique Noiseau Résidence post-production : association Light Cone, Atelier 105 à ParisUne expérience collective
Les Oiseaux de Pluie propose une aventure visuelle et émotionnelle inattendue, sur le sujet du deuil, qui trouvera résonance en chacun d’entre nous. Une œuvre lumineuse, qui célèbre la résilience et la capacité humaine à trouver la lumière, même au coeur de la nuit.
Plongeon dans les continents mystérieux du plaisir féminin, les eaux profondes s’interroge autour de ces «fontaines», qui jaillissent parfois au moment du plaisir sexuel des femmes. Le phénomène reste très méconnu, y compris des femmes elles-mêmes…
Véritable témoignage qui aborde avec délicatesse la question de l’inceste, de l’orgasme traumatique, du cheminement parcouru pour sortir du rôle de victime, Holyshit! pose un regard concret sur la possibilité de transcender nos traumas et sortir de la souffrance. Comment on parle de ça ?
Ce documentaire offre un regard de la réalisatrice sur son spectacle.
Ce spectacle, plein d’humour et de tendresse, nous invite à entrer dans la cuisine de Maëlle, qui nous parle de sa famille et de son parcours de vie, en passant par l’IMC & les facteurs de l’obésité, les troubles du comportement alimentaire ou encore le féminisme & les injonctions de la beauté.
C’est l’histoire d’une grossesse qui s’arrête avant d’arriver à son terme. Une histoire de rencontres avec des soignant·es, des célébrant·es, des ami·es qui se mettent au service d’un rituel hors du commun.
Comment parler d’une expérience aussi intime que la découverte de l’orgasme ? Comment partager une part de soi-même qu’on a ignorée pendant des années ?
Un spectacle-conférence. Un temps ancré dans le sentir, de partage de savoirs et savoir-faire sur l’anus. Du contenu, et des dynamiques à pratiquer. Un manifeste éducatif, joyeux et plein d’amour qui te laissera sur le… cul. Un vrai délice !
Entre documentaire et fiction, LES OISEAUX DE PLUIE, un long métrage qui a pour intention d’ouvrir des espaces de parole, là où la mort, le deuil sont parfois voire souvent des sujets difficiles à aborder. Un opportunité d’ouvrir les porte du « Dire et du Entendre ».
Suite à la perte d’un proche, une peintre et réalisatrice ressent le besoin vital de créer pour pouvoir faire son deuil.
C’est ainsi qu’au fil des rencontres inattendues, une œuvre unique en son genre est née : un long métrage à la frontière entre la fiction, le documentaire et l’œuvre musicale.
Les Oiseaux de Pluie propose une aventure visuelle et émotionnelle inattendue qui trouvera résonance en chacun d’entre nous. Une œuvre lumineuse, qui célèbre la résilience et la capacité humaine à trouver la lumière, même au coeur de la nuit.
Artiste bretonne à multiples facettes, Ariel Neo peint à l’huile sur de grandes toiles circulaires qu’elle photographie et met en scène dans la nature. Ses œuvres profondes, aux couleurs éclatantes, évoquent un état originel, épuré et sauvage.
Réalisatrice et productrice depuis maintenant 2 ans, elle introduit par la suite ses œuvres dans ses courts-métrages. Le spectateur peut alors découvrir la source de son inspiration, tandis que l’histoire de chaque tableau se dévoile au fil du récit.
Ses toiles sont régulièrement exposées en France ainsi qu’à l’étranger et ses courts-métrages sont reconnus et récompensés dans les festivals internationaux. Sa démarche artistique, unique en son genre, abolit les frontières classiques de la peinture, de la photographie et du cinéma, permettant ainsi au spectateur de se transporter dans une œuvre d’art multidimensionnelle.
Fascinée par le monde vivant, Ariel Neo est une artiste engagée dans la protection environnementale et animale depuis de nombreuses années. Elle souhaite que ses œuvres interpellent le spectateur, tout en lui offrant une perspective nouvelle sur la nécessité urgente et vitale de préserver l’environnement. Par les métaphores humaines, animales et végétales qui prennent vie sous ses pinceaux, son art est indissociable de la nature qui nous entoure. Source de beauté et d’émotion, elle est sa plus belle inspiration.
Documentaire / Fiction Long métrage Numéro de Visa : 2024005932 Numero de Distributeur : 05943 Réalisé par : Ariel Neo
Avec : Tiska Louve, Pierre Le Baleur, Ariel Neo, Yvan Gilbert, Sofiane Chalal, André Comte-Sponville, Sébastien Camus, Nadine Frenkel, Sylvie Besson, Benjamin Rovello, Anne Sila et Sylviane Orhan
Durée : 1h30 Année : 2024 Format DCP Nationalité : Française Langue : Français
LES FILMS EN PRELUDE DU FESTIVAL TABOUS
Cinéma de Dinan 20h15, Présences des réalisatrices
Les Oiseaux de Pluie propose une aventure visuelle et émotionnelle inattendue, sur le sujet du deuil, qui trouvera résonance en chacun d’entre nous. Une œuvre lumineuse, qui célèbre la résilience et la capacité humaine à trouver la lumière, même au coeur de la nuit.
Plongeon dans les continents mystérieux du plaisir féminin, les eaux profondes s’interroge autour de ces «fontaines», qui jaillissent parfois au moment du plaisir sexuel des femmes. Le phénomène reste très méconnu, y compris des femmes elles-mêmes…
Véritable témoignage qui aborde avec délicatesse la question de l’inceste, de l’orgasme traumatique, du cheminement parcouru pour sortir du rôle de victime, Holyshit! pose un regard concret sur la possibilité de transcender nos traumas et sortir de la souffrance. Comment on parle de ça ?
Ce documentaire offre un regard de la réalisatrice sur son spectacle.
Ce spectacle, plein d’humour et de tendresse, nous invite à entrer dans la cuisine de Maëlle, qui nous parle de sa famille et de son parcours de vie, en passant par l’IMC & les facteurs de l’obésité, les troubles du comportement alimentaire ou encore le féminisme & les injonctions de la beauté.
C’est l’histoire d’une grossesse qui s’arrête avant d’arriver à son terme. Une histoire de rencontres avec des soignant·es, des célébrant·es, des ami·es qui se mettent au service d’un rituel hors du commun.
Comment parler d’une expérience aussi intime que la découverte de l’orgasme ? Comment partager une part de soi-même qu’on a ignorée pendant des années ?
Un spectacle-conférence. Un temps ancré dans le sentir, de partage de savoirs et savoir-faire sur l’anus. Du contenu, et des dynamiques à pratiquer. Un manifeste éducatif, joyeux et plein d’amour qui te laissera sur le… cul. Un vrai délice !
L’idée de TABOUS est née en mai 2025, il y a quelques mois. Et une énergie incroyable à boosté une poignée de convaincu.e.s, qui ont embarqué avec elles et eux une bande d’humains dans l’aventure. Ici vous retrouvez une partie des contributrices et contributeurs à ce projet, tout aussi beau que nécessaire.
Chacun.e sa couleur, chacun.e sa façon d’offrir son talent au monde. Patchwork de sourires et d’idées…
Une aventure humaine, pour des relations plus harmonieuses.
Alice Dorn
Alice Dorn est cinéaste, créatrice textile, graveuse, née en 1981. Elle réalise ses films en pellicule argentique super 8 (couleur ou noir et blanc). Son dernier film, « les eaux profondes », est une ode aux eaux féminines. Son art explore de façon sensible et personnelle le féminin, l’intime, les profondeurs de l’âme et du corps, la reliance à la nature au Mystère, la merveille du Vivant. Elle travaille depuis 5 ans à la réalisation d’un nouveau film sur le sujet du placenta, « les racines miraculeuses ».
Pour TABOUS, Alice est présente pour la projection de son documentaire « Les eaux profondes », vendredi 10 octobre 20h15, au cinéma de Dinan.
Anneclaire Macé
Anneclaire Macé, alias Annaclara, artiste pluridisciplinaire, croise les arts plastiques et le chant improvisé dans une démarche souvent expérimentale, poétique, écologique et féministe. Elle propose des ateliers où chacun est invité à explorer sa créativité et partager un moment de bien-être et de lâcher prise collectif et joyeux.
*Style de narration à la croisée du théâtre et du livre.
Ariel Neo
Fascinée par le monde vivant, Ariel Neo est une artiste engagée dans la protection environnementale et animale depuis de nombreuses années. Elle souhaite que ses œuvres interpellent le spectateur, tout en lui offrant une perspective nouvelle sur la nécessité urgente et vitale de préserver l’environnement. Par les métaphores humaines, animales et végétales qui prennent vie sous ses pinceaux, son art est indissociable de la nature qui nous entoure. Source de beauté et d’émotion, elle est sa plus belle inspiration.
Pour TABOUS, Ariel est présente pour la projection de son documentaire « Les oiseaux de pluie », lundi 29 septembre 20h15, au cinéma de Dinan.
Chrystel Carpentier
Femme de théâtre, je crée des spectacles poétiques et politiques. J’aime jouer à partir de mon vécu, avec humour et sensibilité, j’ouvre la sphère de l’intime. J’anime aussi des ateliers de création ayant vocation à libérer l’expression du corps, des émotions, des mots. Je me réjouis de participer à cette 1ere édition de Tabous.
*Style de narration à la croisée du théâtre et du livre.
Claire Deguernel
J’ai écrit, avec Patricia Nammour, ma première pièce de théâtre : ‘OSE – Orgasm System Error’ à partir d’une expérience personnelle : celle de la découverte de l’orgasme. Grâce à la magie de l’écriture qui transforme le particulier en universel, j’ai pu toucher de nombreux·ses spectateurices et être assez à l’aise pour avoir mes parents dans la salle !
La transmission est au coeur de ma vie. En tant qu’historienne, maman ou passeuse de chants, j’ai toujours eu à coeur de créer des espaces d’écoute et de co-apprentissage. Mon hypersensibilité et mon expérience du deuil m’ont amenée à chercher à mettre ces espaces au service de l’accueil de nos émotions profondes.
Emmanuelle Duchesne, enseignante de Méditation Orgasmique et autrice du livre « 50 exercices de Slow Love et Sex Meditation”.
Sa mission : Contribuer à une vision des relations et de la sexualité permettant plus d’intégrité, de liberté, de plaisir, d’épanouissement et d’«écologie relationnelle».
Sa méthode : Créer des temps d’explorations méditatifs cadrées permettant l’observation et la transformation de nos conditionnements. Ils impliquent le non jugement, la curiosité, la communication et sont inspirés et intègrent des principes de la pleine conscience, la méditation orgasmique, du mouvement de sexualité positive.
Estelle est passionnée par les espaces où il est possible de déposer ce qui, d’ordinaire, reste caché ou jugé. Curieuse de l’humain et de ses multiples facettes, elle s’intéresse particulièrement à la parentalité, à l’amour, à la sexualité en conscience et aux chemins qui nous rapprochent de nous-mêmes. Convaincue aussi de l’importance d’une alimentation saine et équilibrée, elle cherche à incarner une façon de vivre où santé et authenticité se rencontrent.
Gaëlle Baldassari, fondatrice de Kiffe ton Cycle, est une pionnière de l’éducation menstruelle. Formée en Approche Neurocognitive et Comportementale, elle est aussi autodidacte passionnée, ayant exploré tout ce que la science propose sur le cycle menstruel et échangé avec des experts du domaine. En menant de grandes enquêtes impliquant des milliers de personnes, elle a su allier le meilleur de la recherche et de l’expérience de terrain.
je suis femme médecine et créatrice du vivant. J’œuvre avec la guérison émotionnelle, chants vibratoire et le corps. Je vous ouvre à accueillir vos émotions occultées, enfouies dans vos cellules. Prêtes à être libérées, ensemble, tout en douceur, nous les remontons à la surface. Plus léger, dé-construisant pas à pas votre carapace, je vous accompagne vers qui vous êtes vraiment, au centre de votre coeur.
Pour TABOUS, Ghislaine est bénévole, et prendra prendra plaisir à accueillir les festivalier.e.s et veiller à leur confort.
Jaya Daza
Je suis Jaya, Woman Rose&Lion. Femme en mouvement d’être libre (La Liberté est un mouvement). Coach holistique, canal vibratoire, artiste menstruelle et activatrice d’âmes incarnées. J’éveille ce qui dort dans les ventres : mémoire du feu (créativité, désirs), dignité du corps, souveraineté de l’esprit. J’honore le sang, le sacré et l’argent. J’accompagne les femmes à incarner leur puissance — enracinées, reliées, souveraines.
J’accueille avec douceur celles et ceux qui souhaitent se retrouver, se relier et s’ouvrir à la vie autrement. Je suis accompagnante en changement de vie, dans les domaines professionnel, relationnel et parental. J’aide les personnes à retrouver leur équilibre intérieur, à s’aligner avec qui elles sont vraiment et à reconnecter avec leur cœur, pour vivre des relations plus vraies, apaisées et conscientes.
Pour TABOUS, Jennifer est bénévole et aura le plaisir d’accueillir les festivalier.e.s dans l’espace de convivialité, un lieu pour déposer, échanger, créer du lien et se sentir pleinement soi.
Julie Casenave – café céramique Des Joies
Je suis Julie, 39 ans et je suis la fondatrice du café céramique des joies. Après quatorze ans en tant qu’infirmière en santé mentale j’ai eu envie d’un ailleurs mêlant plaisir et créativité. J’ai voulu « Des joies » comme un lieu qui fait du bien, à l’abri du tumulte et du dehors. Ce lieu crée l’occasion, selon l’envie, de se poser, d’avoir un temps privilégié ensemble ou seul autour de la peinture sur céramique. Tabous résonne avec les mêmes valeurs et les mêmes objectifs, celui de faire du bien. C’est donc avec plaisir que « des joies » en sera partenaire.
Pour TABOUS, Julie met à disposition son espace « Des joies » , le temps d’un atelier.
Kevin Herquelot – D’ici Delà
J’apprécie de travailler des produits frais, de qualité et provenant de producteurs locaux. Le concept d’ici delà : tout est servi dans des bocaux, entrée, plat et dessert. Nous sommes sur une démarche 0 déchet. La valeur ajoutée : les plats sont directement chauds et restent chauds dans les bocaux.
Pour TABOUS, Kevin s’active aux fourneaux de D’ici Delà et fournit les repas végétariens sans gluten. Une solution optimale pour le Festival: des produits de qualité, locaux et frais; des plats livrés chauds (et qui le restent), démarche 0 déchet, très peu de vaisselle.
Loan Vautier – Métagraph
Quand Romaric m’a proposé de contribuer au Festival TABOUS, ça a fait un grand OUI. Les écuries 23 hébergent un atelier et pas que… METAGRAPH est un atelier de services de marquage, de gravure et de découpe au laser sur tous types de supports et matériaux. Et les écuries 23, proposent aussi un espace de co-working, de grandir ensemble.
Pour TABOUS, Loan met à disposition un espace chaleureux des écuries 23, afin d’accueillir des ateliers.
Laurence Robinault
Laurence Robinault est la 1ère femme française certifiée en « sexological bodywork », technique reconnue dans le monde entier. Elle est passée de « femme dissociée handicapée de l’amour » à une femme multiorgasmique. Elle amène de la lumière et de la conscience sur un sujet encore très tabou : le plaisir féminin et la masturbation. Elle transmet son expérience et les clefs du « Genital mapping » à travers des séances individuelles et un programme en ligne « L’éveil du Feu sacré «
Louisa et Jean-Marc sont les co-fondateurs de l’association L’émerveilleuse, fondée en 2023, qui a pour mission d’exaucer les derniers vœux des adultes, alités en fin de vie, en Bretagne. Cette association apporte à ces personnes un moment de douceur ainsi qu’à leurs proches; de simples souhaits, précieux, pour rester connecter à la vie. Un retour temporaire à domicile, voir la mer ou assister à un concert, chaque vœu crée un souvenir inoubliable pour ces personnes concernées. L’Emerveilleuse prend en charge tous les aspects logistiques et financiers, pour que les familles puissent se concentrer sur l’essentiel : vivre un moment ensemble. Cette initiative bretonne met en lumière l’importance de la compassion, l’empathie et de l’humain, dans ses moments de fin de vie.
Pour TABOUS, Louisa est présente lors de l’échange suite à la projection de « Les oiseaux de pluie », lundi 29 septembre 2025, 20h15, au cinéma de Dinan.
Maëlle Bulle
Salut, moi c’est Maëlle ! Animatrice socio-culturelle de formation, j’ai développé à la suite de mes études, un parcours de formatrice et de facilitatrice au sein de plusieurs associations ou coopératives. Passionnée de théâtre d’improvisation et de jeux, j’ai toujours mêlé animation de groupe et arts du spectacle dans ma vie professionnelle. La conférence gesticulée était pour moi « l’ingrédient magique » pour associer ma soif de transmettre et mon amour de la scène… Voilà chose faite !
Art-thérapeute, artiste plasticienne, j’invite chacun.e avec douceur et clarté à tisser un dialogue avec elle/lui-même. Les pratiques de conscience corporelle, l’expression créative ( dessin, peinture , modelage, écriture …) et la reliance au vivant, à la terre sont les bases de mes accompagnements.
Je guide des parcours de reconnexion à soi en individuel, atelier, stage et cercle de femmes. J’interviens également en institution.
Une vie en mouvement à tisser des liens, nourrir le corps pour se faire du bien. Pendant dix ans il parcourt la France, vit en van, découvre le milieu du cirque et du spectacle de rue, voyage à vélo à travers l’Europe, en voilier dans les Caraïbes, vit un temps au Québec puis au Mexique. Sa soif de découverte l’amène à la rencontre de l’autre, des autres, et de leurs différences, et surtout des peuples des premières nations qui maintiennent vivantes leurs traditions ancestrales.
Pour TABOUS, Matthieu joue, aux côté de Delphine, leur spectacle « On a dit Oui ».
Phil Meyer
Phil Meyer est un artiste plasticien sculpteur et peintre. Il vit et travaille actuellement en Bretagne. La question du corps a toujours été prégnante chez Phil Meyer. Les sculptures et peintures de Phil Meyer subliment les sens de l’humain, pour lui permettre de penser le monde en interrogeant le positionnement du corps dans l’espace émotionnel, sociétal et environnemental.
Chanteuse et formatrice en expression vocale certifiée par l’école de la voix Odile Wieder. Coach vocale pour « Libérer sa voix parlée et chantée ». Ses méthodes d’accompagnement s’appuient sur l’Art de l’écoute, le Roy art théâtre, la dimension corporelle de la voix, la psychophonie, la relation d’aide et d’écoute thérapeutique, la technesthésie, l’expression théâtrale ainsi que la pédagogie du rythme. Elle considère l’improvisation comme essentielle dans son approche et la voix comme un moyen d’exploration de soi continuel.
Photographe & vidéaste basé en Bretagne, je capture les transformations du corps et des émotions qu’il révèle. Facilitateur de cercles et organisateur d’événements autour du mouvement, danse libre, somatique, j’explore la puissance des images et des pratiques collectives pour traverser les tabous. Mon parcours m’a appris à transformer l’intime en chemin de liberté, à partager par l’art et le corps.
Insta: @renaud__bertrand
Pour TABOUS, Renaud est le photographe-vidéaste.
Romaric Guillot
Mes apprentissages passent par l’expérience. J’ai créé l’association Terre de Lune, qui accueille des évènements en lien avec l’exploration de soi, et c’est avec beaucoup d’enthousiasme que je participe à la naissance de TABOUS. Attiré par l’exploration et la danse des polarités, je contribue au travers de Terre de Lune à ouvrir des espaces de paroles et d’expérimentations. Par ailleurs, j’accompagne par le massage et le toucher sensible des personnes en quête de reconnecter à leur souveraineté.
Pour TABOUS, Romaric co-anime avec Estelle un Atelier « Pile-Poil ». Il est le fondateur du Festival TABOUS
Sarah Marcuse
Crédit photo: Dominique Vallès
Après sa scolarité à L’Ecole Rudolf Steiner elle passe sa maturité au Collège Voltaire, passe par la faculté de lettre puis s’oriente vers le Théâtre. L’Ecole Dimitri au Tessin et l’école Fratellini à Paris pour les Arts de la scène et du Cirque puis L’Ecole Serge Martin à Genève pour le jeu et l’écriture scénique. Depuis 2000, sous l’égide de sa compagnie La Fourmilière, elle écrit, adapte, joue et met en scène des spectacles qui ont en commun de proposer des visions constructives pour continuer à grandir. Elle tourne ses spectacles en Suisse et à l’étranger : Montréal et le Québec, Paris, Avignon, St Etienne, Nouméa, Lausanne, Fribourg, Neuchâtel, Vevey, Fribourg, Yverdon et remporte notamment un grand succès avec Holyshit ! joué durant deux ans et demi ainsi que pour l’adaptation du Chat du Rabbin de Joann Sfar qui s’est joué plus de 100 fois.
Pour TABOUS, Sarah est présente pour la projection de son documentaire « Holyshit », jeudi 23 octobre 20h15, cinéma de Dinan.
Solène Lefort
J’accompagne l’être vers son épanouissement intime et l’éveil à son sensible à travers le corps, le souffle, le mouvement & les mots. Par l’Art du Toucher, le Massage, la Danse, le Wutao et la Parole vivante, j’ouvre des espaces de reconnexion où l’on ose sentir, exprimer et habiter pleinement son corps, son temple. Être chez soi, au cœur de sa maison, ouvert et relié à ce qui vous environne.
Pour TABOUS, Solène est bénévole et s’occupe justement de l’organisation des bénévoles .
Thomas Rocourt
Coach somatique, artiste et danseur, Thomas explore depuis toujours les liens entre corps, esprit et Eros. Certifié en Sexological Bodywork et formé en trauma, Tao et pratiques chamaniques, il crée des espaces où se rencontrent mouvement, conscience et sexualité consciente. Son parcours mêle danse, pratiques somatiques, contact improvisation et accompagnement du système nerveux. En tournée avec son spectacle La sagesse de l’anus, il invite à une exploration sensible, incarnée et libre de nos humanités.
Je suis Yasmin Boudjema, sexologue clinicienne et thérapeute de couple. J’accompagne toute personne, seule ou en couple, qui traverse des difficultés sexuelles ou relationnelles. Mon approche bienveillante et ouverte soutient la reconnexion à l’intimité, au plaisir et à la confiance, dans le respect de chaque parcours de vie.
